
Jean-Michel Delacomptée
Sommaire du Possibles n° 31 – mars 2024

Gabrielle Althen, Poèmes inédits, 5
Claire Boitel, Frédéric Tison i. m., 14
Aurélien Buraud, Lettres à Alma, 15
Parme Ceriset, Femmes-Lumière, 24
Hassan Najmi, La Cicatrice d’Ulysse, 33
Jacqueline Fisher, Suite Polyphonique, 45
Joëlle Pétillot, Diagonale d’un vol, 55
————— Dossier J.-M. D. —————
Jean-Michel Delacomptée, De la critique, 65
Géraldine Blanc, Le bruissement de la langue, 70
Olivier Maillart, Les survivants et les morts, 77
Emmanuel Bourreau Chopin, Un style, une santé, 85
Martine Konorski, Le Bruit en ses outrages, 95
Françoise Richard-M., Du portrait littéraire, 105
Laurent Tournesac, L’art du cautère de velours, 116
Pierre Perrin, Gratitude à J.-M. D., 126
Notes de lecture
Akira Mizubayashi, Suite inoubliable, Gallimard, 2023, 256 pages, 20 € par Marie-Hélène Gauthier, p. 137
Baptiste Morizot, L’inexploré, éditions Wildproject, avril 2023, 412 pages, 26 €, par Alain Nouvel, p. 140
Stéphane Barsacq, Solstices, Corlevour, 208 pages, 17 €, par Luc-Olivier d’Algange, p. 143
Francis Gonnet, Traversée des visages, éd du Cygne, 2023, 10 €, par Martine Rouhart, page 144
Michel Bourçon, Matins de ciel et d’oiseaux, Pierre Turcotte Éditeur, 2023, 107 pages, par Christophe Condello, p. 144
Carmen Pennarun, Tumulus, Bleu d’encre, 2023, 183 pages, 18 €, par Parme Ceriset, page 145
Yveline Vallée, Le monde t’écrit, Jacques Flament, 86 pages, 12 €, par Marie-Josée Eychenne, p. 146
Thierry Le Pennec, Le visage du mot : fils, La Part commune, 94 pages, 13,90 €, par Marie-Hélène Prouteau, page 148
Yves Marchand, Coups de griffes et pieds-de-nez, éditions Lacour, 156 pages, 12 €, par Pierre Perrin, p. 149.
Descriptif du n° de mars 2024, à paraître le 1er mars :Format du volume n° 31 de mars : 130 x 200 mm |
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« Je commence par vos premiers mots sur l’œuvre de Jean-Michel Delacomptée et, tout de suite, je baigne dans une atmosphère de beauté, une maison aimée quand vous citez : « Les anciens sont habités par la langue au point que leur passion engage chacun de leurs mots, chacune de leur phrase. Ils écrivent dans la lumière des livres qu’ils ont lus. » Vous parliez, Pierre, de passion (néfaste) dans un poème récemment et je ne pouvais répondre car je pensais moi justement à cette passion là si belle et bénéfique, du même ordre que la spirituelle, et dont on voudrait toujours être exaltée. Merci pour ce numéro spécial qui, je le sens, va m’émouvoir et m’enchanter. Gratitude toute, Pierre Perrin. Vous savez allier passion et tendresse, inutile de les séparer quand elles sont si bien unies dans vos hommages. Toutes les questions que pose Jean-Michel sur l’écriture sont tout simplement des questions existentielles et c’est pour ça qu’on l’aime. Si on en avait qu’un, c’est l’ami qu’on voudrait avoir : il scrute et magnifie. » Delphine Leger, Le Livre des visages, 8 mars 24 « Aurélien Buraud, Parme Ceriset et le merveilleux Hassan Najmi m’ont cueilli au débotté de ce Possibles. Une poésie tellement sincère, tellement lumineuse et sans affèterie. Bravo pour cette publication si utile aux amoureux de la poésie. Et merci de me faire découvrir Jean-Michel Delacomptée, si tranchant et si clair, sabre au clair ! Un bon moment en ta compagnie. Amitiés. Yves Marchand, Le Livre des visages, 9 mars 2024 « Déjà lu la première moitié, jusqu’aux textes de Jacqueline Fischer sur les voix... Sa voix. Ses voix. Vraiment savoureux. J’ai été très touché par tous ces textes, en particulier par ceux d’Aurélien Buraud, les Lettres à Alma... Bouleversantes. » Alain Nouvel, Le Livre des visages, 9 mars 2024 « Grâce à Possibles, j’ai découvert un grand portraitiste. De plus, les analyses sont de haut vol, bravo ! Je commande un de ses livres. À la fois émerveillé de découvrir cet écrivain et honteux de l’avoir méconnu. Merci Possibles ! Tes quatrièmes pages de couverture sont excellentes, Pierre. » — Émile Eymard, Le Livre des visages, 18 mars 24. « Quel plaisir de promener son attention à travers les pages de la revue Possibles. On y côtoie l’intelligence, on s’instruit. On découvre des textes poétiques ou non. Toujours de la belle écriture. C’est un peu comme avoir le plaisir de butiner d’un livre à l’autre, au cours d’un bel après-midi disponible, dans une bibliothèque de qualité. Merci Pierre Perrin pour cette joie donnée, en grande partie avec cet esprit extraordinaire qu’est J.-M. Delacomptée. » — Marie-Josée Eychenne, Le Livre des visages, le 25 mars 2024. « Jean-Michel Delacomptée, né en 1948 et auteur d’une bonne vingtaine de livres, est-il un écrivain qui compte ? Le beau dossier que la revue Possibles lui consacre, s’emploie à démontrer qu’il est un auteur important, injustement méconnu, dont l’œuvre est jusque-là trop souvent passée sous les radars médiatiques. On sent d’ailleurs un peu d’amertume à ce propos dans le texte de l’intéressé – « De la critique littéraire »– qui ouvre cette livraison (n° 31, mars 2024). « Lire Jean-Michel Delacomptée me réjouit », écrit Pierre Perrin, qui préside depuis longtemps à la destinée de cette toujours très ambitieuse parution trimestrielle de littérature… » — Anthony Dufraisse [lire la suite sur le site d’Ent’revues], 15 mai 2024. Le numéro de mars 2024 de la revue Possibles s’ouvre sur un florilège de poèmes et récits, en vers ou prose, signés successivement par Gabrielle Althen, Aurélien Buraud, Parme Ceriset, Hassan Najmi (traduit de l’arabe par Aymen Hacen), Jacqueline Fisher, Joëlle Pétillot. La seconde partie est tout entière dédiée à l’écrivain Jean-Michel Delacomptée, auteur d’une œuvre littéraire abondante, dans laquelle Pierre Perrin, qui signe le dernier article, nous dit qu’elle se déploie dans trois directions majeures : les portraits d’écrivains et de quelques personnages historiques ; les essais ; les romans. Divers aspects de cette œuvre, qui se montre surtout soucieuse de la langue littéraire et du style (« Dans le miroir de sa langue, c’est le pays qui se contemple »), sont successivement commentés par Géraldine Blanc, Olivier Maillard, Emmanuel Bourreau, Martine Konorski, Françoise Richard-Mongereau et Laurent Tournesac. Un des traits remarquables de cette œuvre est sans doute qu’elle brouille les frontières convenues entre récit, description, analyse et réflexion personnelle. — Gérard Mottet, Poésie/première, n° 88, mai 2024, p. 118. |