
Résurgence de la revue papier en 2022
Possibles – ISSN : 0336-7614
Possibles » signifie que chaque poète, ou plus largement écrivain, nouvelliste, romancier, essayiste, ici proposé existe pour votre plaisir de lecture.
De janvier 1975 à l’été 1980, vingt-deux numéros ont paru. En 2015, un Possibles deuxième série est né, en ligne. Avec quatre auteurs chaque mois, soixante-deux numéros demeurent à disposition sur la toile [ci-contre].
Désormais – à compter du numéro vingt-trois, paru en mars 2022 – les poètes redescendent de l’internet au bon livre.
En dernière partie de numéro, des notes critiques éclairent les meilleures publications.
Un abonnement annuel pour quatre numéros est proposé à hauteur de cinquante euros. Le règlement s’opère par chèque, en précisant bien votre adresse postale, à Pierre Perrin, 29 rue de l’Hôpital 39600 Arbois. Un virement peut être opéré sans frais ; il suffit de me demander l’Iban et de rappeler au besoin votre adresse par formulaire ou courriel.
Les numéros disponibles 2022
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Accès au n° 23 – mars 2022 – Poètes en ligne —>
Accès au n° 24 – juin 2022 – Pour fêter Jean Pérol —>
Accès au n° 25 – septembre 2022 – Quinze nouvelles —>
Accès au n° 26 – décembre 2022 – Alternances —>
Accès au n° 27 – mars 2023 – Où va la littérature ? —>
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Suivent des poèmes et des nouvelles en mars
une question : où court la littérature à l’ère Ikea ?
le numéro de juin privilégiera les carnets d’écrivain
le n° pour septembre aimerait fêter Cluny ; décembre…
Auteur, si vous souhaitez contribuer à Possibles, lisez cette page —>
« La revue Possibles est un bel exemple de ce que peut la foi. En peu de mois, cette revue a progressé sur tous les plans, avec régularité, et la poésie de Pierre Perrin a suivi même chemin. Des petits numéros ronéotés, maladroits, du début, aux numéros consistants, tel le Breton pourtant bien mal agrafé, au Mafaraud, à l’Érotologie [le vrai titre : Éroticothèque], il y a une émergence dont je mesure le prix qu’elle a dû coûter. Ce que publie Perrin le concerne toujours, et il est aisé de voir ce qui fait la personnalité de sa revue : une sorte de réalisme passionné, le goût du détail vécu, quelque chose de terrien, de sensuel, de vigoureux, de paysan. À noter aussi la force des notes critiques qui bénéficient d’une nette orientation, et en ce domaine rien ne vaut le parti-pris quand il est médité et fondé en expérience. » Pierre Chabert, Le Pont de l’Épée n° 67-68, juin 1979 [p. 186] |